So Cho Kun
A l’âge de 10 ans, il souhaitait acquérir une force hors du commun à l’exemple de ces Grands Maîtres qui pouvaient dominer leurs cadets au combat, sans plus de difficulté. Son entourage l’oriente alors vers le karaté (style Goju-Ryu) où il devient le professeur.
Mais le doute s’insinue en lui lorsqu’il s’interroge sur l’essence de l’efficacité dans un combat : comment remplacer la force musculaire qui accompagne la jeunesse par une force qui ne pourrait que s’accroître sans jamais décliner avec l’âge ?
Il rencontre alors son Grand Maître : Tei Sei Ryu, quatrième héritier du Ba Gua Quan (famille Cheng). Pour accéder à son enseignement, il devra renoncer à tout ce qu’il avait appris auparavant et, peu à peu, il prend conscience du fondement et de la portée des arts martiaux internes, basés sur les règles de l’Univers.
Suite aux années passées auprès du Grand Maître Tei Sei Ryu, la Chine le reconnaît Maître à son tour et lui attribue le nom de So Cho Kun, l’identifiant ainsi comme représentant de la 12e génération de Xingyi Quan (Hsing I Chuan).
« J’ai élaboré une méthode unique et incontournable de développer votre « savoir-pourquoi et pour quoi » des arts martiaux internes (Xingyi Quan, Taiji Quan & Qi Gong martial) pour en constituer un véritable savoir-faire, ce qui me différencie des autres enseignants.
Certains trouveront mon approche très déroutante. C’est bien normal car c’est cette approche même, qui est l’héritage de mon maître, possède une valeur inestimable et inconnue du grand public. » — sochokun
Quelques pistes pour mieux connaître son univers :
• Site officiel
• Blog « A la poursuite de l’ombre de l’invisible »
• Vidéos pédagogiques